Qui sommes nous?
L’Agence des bassins versants de Sainte-Anne-des-Lacs (ABVLACS) est un organisme communautaire à but non lucratif.
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Notre mission
Notre mission est de veiller à la préservation à l’amélioration de la qualité de l’eau des bassins versants de notre territoire dans une perspective de développement durable.
Nos principaux objectifs visent à:
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concevoir et mettre en oeuvre un plan d’action, en partenariat avec les acteurs de l’eau, afin d’améliorer et de préserver la qualité de l’eau des bassins versants
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acquérir les connaissances et les données nécessaires pour dresser un portrait détaillé des bassins versants
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initier, supporter ou coordonner, avec les acteurs concernés, la réalisation de projets visant à protéger, conserver et améliorer l’état de santé de l’eau et des écosystèmes des bassins versants
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sensibiliser et diffuser, auprès des résidents et non-résidents des bassins versants, la connaissance à l’égard de la préservation de la qualité de l’eau et de l’utilisation des pratiques respectueuses de l’environnement afin d’adopter des comportements qui soient davantage en harmonie avec la nature
Notre histoire
L’Agence des bassins versants de Sainte-Anne-des-Lacs (ABVLACS) a vu le jour en 2007 sous le nom de COGESAM (Conseil de gestion des lacs Saint-Amour et Marois) afin de lutter contre la prolifération des cyanobactéries qui sévissaient à l’époque dans les eaux des lacs Saint-Amour et Marois, ainsi que dans de nombreux lacs du Québec. Son fondateur, Gilles Pilon, ingénieur de formation, détenteur d’une maîtrise en génie civil, MBA et gestionnaire à la retraite, est un citoyen de Sainte-Anne-des-Lacs et un riverain du lac Saint-Amour. M. Pilon, avec l’aide de plusieurs collaborateurs et collaboratrices, a déployé beaucoup d’efforts pour mettre sur pied COGESAM qui est devenu, en 2008, l’Agence des bassins versants de Sainte-Anne-des-Lacs (ABVLACS). Elle comptait alors 175 membres au sein d’une municipalité qui dénombrait un peu plus de 3 000 personnes.
L’évaluation de l’état de santé des lacs, l’acquisition de connaissances, la diffusion de l’information et la confection d’un plan d’action étaient alors au cœur de leur action afin de contrer les causes de l’éclosion de cette algue bleu-vert et d’inciter les citoyens et les acteurs de l’eau à adopter des pratiques pouvant prévenir de nouvelles éclosions dans le futur.